Dramarturgie et mise en scène: Franziska Guggenbichler Beck
Scénographie et costumes: Maria Gamsjäger Assistance scénographie et costumes: Cécile Marcand Concept musical et composition: Martin Lutz L'atelier de cette année, orienté sur le théâtre musical, prends pour parti de travailler la chanson classique, la lied, à son origine créatrice. Le projet met à disposition une plateforme pour étudiants des programmes de mise en scène de l'Ecole Supérieure de Musique “Hanns Eisler” et de scénographie de l'Université des Arts de Berlin, pour donner naissance à cette production originale en trois volets.
Ces trois actes se basent sur des chansons populaire de Johannes Brahms, Gustav Mahler et Alban Berg comme point de départ, et partent à la recherche de fragments d'un passé retrouvé et des rencontres entre diable et mort, dieu et folies. |
Avec:
Martin Daerr, Yvonne Gesler, Ursula Hastigsputh et Julian twarowski. La fondation K.O.existence s'est donnée pour tâche de promouvoir les jeunes artistes du théâtre, et tout particulièrement les scénographes, en leur offrant de mettre en pratique leurs collaborations avec les metteurs en scène. Cette initiative pour un laboratoire théâtrale et la mise en place d'un réseau de relation en étudiants et jeunes professionnels, avec ce système de formation à double tranchant, offre un complément précieux à l'apprentissage que leur prodigue universités et écoles polytechniques. Ces ateliers scéniques reviennent annuellement.
La fondation a pour but de créer des productions ouvertes au débat publique. Elle soutient au plan conceptuel, financiel, organnisationnel des projets mis en place par des institutions culturelles ou nationales. c'est une association à buts non lucratifs, aidée d'une équipe de gestion bénévole et engagée. |
À la recherche de son chemin du retour, G. se met à naviguer dans sa mémoire. Il y avait de la soupe de nouilles, la radio était sur Brahms, le soleil entrait brillamant par la fenêtre, le perroquet gazouillait... STOP! Comment s'appelait l'oiseau déjà? Sa mémoire s'estompe dès que G. l'effleure et pourtant elle émerge encore et encore, toujours plus brumeuse, là où il la cherche et l'attend. Le monde du souvenir vacille et G. se pose la question: que se trouvait-il vraiment là? Et la tentative de reconstruction commence.
|
|
|