Né en Suisse en 1983, il étudie à l' Université des Sciences et Arts Appliqués de la Suisse du Nord, à Bâle. Il est réconpensé par le prix du design de Suisse fédérale en 2010, 2012 et 2013. En2011, Dominic Knecht établit son propre label à Berlin, et possède un comptoire chez Villain, dans Mitte. Il se met lui-même des objectifs ambitieux, visant à tailler une niche pour son label dans le segment de prix plus élevé. Après avoir travaillé à Berlin plus de quatre ans, sont travail peut désormais être admiré dans une salle d'exposition à Bâle. On y observe son désir de clarifier la frontière entre prêt-à-porter et haute couture, livrant au regard de sensibles oeuvres d'art, qu'il protège et demande toujours d'être traité avec soins.. |
Ce qui interesse principalement le créateur est l'apparence de la peau nue au dessous. Quelles parties du corps sont visibles, et comment le degré de transparence change selon le mouvement de celle qui le porte ou de celui qui l'observe? Dans le cas de certains modèles, le degré de transparence varie selon la distance, de quelques petites fentes `q une nudité complète.
D'autres tissus exposent la peau différement selon l'angle sous lequel le vêtement est considéré. Certaines des fentes dans le tissu reposent sur des courbes, les protégeant du regard. Par le biais de coupes sophistiquées et d'une intéressante technique , il a réussi à élaborer une collection pour une femme séductrice qui, en dépit de ce qu'elle expose, ne se laisse pas aller à l'évidence. |
"l'étoffe est l'écrain de notre intimité"
Sa collection de 2011-2012, "L'étoffe de l'intimité", a été principalement crée grace à un métier à tisser. En résultait une étoffe extrêmement délicate faite de centaine de fils séparés les uns des autres, créant des vagues, scuptant le corps et le laissant libre au regard.
Les pieces étaient principalement noires et blanches. On trouvait également quelques créations faites de cuirs très fins, crémeux comme du beurre. Ces pièces de cuirs étaient parfois sculptées, parfois laissées entières et d'une simplicités crue. Pour concevoir cette collection, Knecht apprit à tisser, pour assembler les fils d'une manière tout à fait unique afin de faire naître un matière voilée et fragile. La processus de création impliquait une interaction entre le designer, la coupe du vêtement et le corps de la femme lui-même. Knecht commencait par placer l'étoffe sur le corps pour pouvoir ensuite décider où les points de contact devraient être idéallement placés. begins by weaving the garment on the body in order to decide where points of contact should ideally be placed. Là où le tissu épouse le corps, on y ressert le tissu; là où il est lâche, le corps peut se déplacer librement. |
contentu du travail
Durant cette année de collaboration, j'ai aidé Dominic à produire certaines étoffes sur la métier à tisser. Il s'agissait pour moi d'une toute nouvelle technique, gouvernée par la précision et la patience, car chaque création prenait au moins trois mois pour être terminée. Il m'a également enseigné diverses techniques de coututre, de découpe de patrons, et surtout comment suivre un projet créatif sur le long terme.